Engrais : comment anticiper les changements climatiques ?

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La fin du monde ne serait pas pour demain, mais pour bientôt… L’affolement est général, le monde n’est pas loin d’un troisième conflit mondial dont la cause ne serait pas la défense des frontières, mais le manque de blé. Tout est devenu climatique et la hausse des températures serait la cause de tous nos maux. Le manque de fertilité des peuples d’Europe ? Les rivières qui débordent ? Les esprits qui s’échauffent sur les réseaux sociaux ? Ne cherchez pas, c’est la faute au climat. Les malheureux qui s’enfuient de leur pays ne sont plus des réfugiés politiques, mais des migrants climatiques. Et si les publicités continuent de vous conseiller de manger 5 fruits et 5 légumes par jour, certains se demandent si, au rythme des changements climatiques, il y aura assez de fruits et de légumes pour tout le monde…

Face à tous ces constats, qui tout de même concernent la survie de l’humanité, se poser la question du bon usage des engrais est donc logique.

Engrais et climat : quelques idées simples dans un monde qui a chaud

Que vous soyez un professionnel revendeur d’engrais, un agriculteur en mal de certitudes ou un particulier devant son potager, voici ce qu’il faut retenir en matière d’engrais :

Eau et engrais

Afin d’anticiper au mieux les changements climatiques, qui s’annoncent ou qui font déjà partie de votre quotidien, la gestion de l’eau est le premier enjeu. Le nombre de précipitations ayant tendance à chuter, au contraire de leur intensité, le problème de l’irrigation des terres cultivables est une préoccupation. L’eau n’ayant plus le temps de pénétrer efficacement dans les sols, un travail en amont est nécessaire afin de mieux capter l’eau et de réduire les risques d’inondation. Le choix d’un engrais peu avide en eau et peu polluant est donc plus que jamais obligatoire.

Engrais et fréquence

L’engrais qui saura vous accompagner efficacement dans ce monde qui change devra combiner ces deux caractéristiques : être d’origine naturelle et ne pas exiger une haute fréquence d’usage. En d’autres termes, un engrais dérivé d’une matière organique (fumier, résidus de culture ou compost) et capable de fertiliser les sols en libérant lentement ses nutriments est à privilégier.

Engrais et dosage

Une terre qui produit en s’épuisant est un leurre et l’argument d’une rotation des cultures une excuse trop facile. Ce n’est pas en abusant d’engrais que l’on s’adapte aux changements, mais ce n’est pas non plus en respectant les prescriptions des fabricants d’engrais que l’on prépare l’avenir… Ne vous y trompez pas : une terre que l’on sollicite et qui doit conjuguer pénurie d’eau et chaleur excessive est un sportif proche de l’abandon. La solution ? Un engrais qui ne pénalise pas la terre qu’il enrichit même en cas de surdosage…

 

En conclusion

Anticiper les changements climatiques n’exige finalement pas une révolution, mais juste un peu de bon sens. En matière d’engrais, la sagesse est aisément accessible tout simplement parce que la nature a déjà organisé sa survie et donc celle de nos cultures. Pour préserver la fertilité des sols sans se soucier des changements à venir, faire le choix d’un engrais 100 % naturel produit à partir de crottins de chevaux est donc la bonne solution.

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